INTRODUCTION - HI LIAM, TELL ME YOUR STORY, MAYBE I COULD HELP YOU BETTER THAN HER

J'avais encore un putain de rendez-vous avec ma psychologue, madame Shefferfield, je ne sais pas pourquoi mais elle voulait toujours que je lui raconte ma vie et elle écrivait ce que je disais, comme si c'était une histoire. Je marchais dans une des grandes rues de New York et entrai dans le bureau de ma psy. La secrétaire me sourit et me dit d'une voix chaleureuse : « Allez vous avoir monsieur Kingston, madame Shefferfield va venir vous chercher dans quelques minutes. » C'est ce que je fis, j'allai m'asseoir et attendis, le temps parut passer tellement lentement qu'on aurait dit que j'avais attendu pendant plusieurs heures. Mais elle vint me voir et me dit d'entrer dans son bureau. Il y avait un homme avec elle, qu'elle me présenta rapidement sous le nom de Tristan Beauregard, un étudiant en psychologie de France. Il suivait un stage avec elle et je devais encore raconter à zéro mon histoire. Il me regarda avec ses yeux grossit par ses lunettes et me dit : « Ça te dirait de me raconter ton histoire? Ce qui a fait que tu es devenu l'homme que tu es aujourd'hui? » - « Et pourquoi j'ferais ça? » - « Allez Liam, je sais que ce sera long mais je suis sûre que Tristan pourra t'aider aussi bien que moi! » - « Bon... d'accord... »

CHAPTER ONE - BORN IN A WEIRD FAMILY, IT'S GONNA BREAK ME APPART

Après la demande de Tristan pour raconter ma vie, je fus carrément obligé, ma psychologue me forçait à tout lui raconter afin qu'il m'aide. Je n'en avais pas du tout envie à vrai dire, déjà qu'elle savait tout de moi, je ne voulais pas que quelqu'un d'autre connaisse ma vie. Mais elle avait des arguments très convaincants car, pour ceux qui ne savaient pas, je couchais très souvent avec ma psychologue et elle me promettait une soirée que je n'oublierais jamais. Je me mis donc à raconter mon histoire : « Je suis né ici-même, à New York. Ma mère était avocate et mon père était un homme accusé du viol d'une femme que ma mère avait défendu. Elle ne se serait jamais doutée qu'elle tomberait amoureuse d'une peut-être criminel. Ils se sont rapprochés après le procès, durant lequel il a été nommé non-coupable. Ils ont fini par se fréquenter et ma mère est tombée enceinte de cet homme : Ryan Joshua Kingston. Neuf mois plus tard, elle accoucha. Et disons que le fait que je sois né ait gâché leur couple. Ils étaient fiancés, mon père ne pouvait pas travaillé suite à un accident du travail qui l'empêchait de travailler. C'était donc ma mère qui travaillait toujours et ça causait des chicanes. Je ne suis pas vraiment né dans un cocon familial idéal à vrai dire. Mon père commençait à être agressif envers ma mère vers mes six ans si je me rappelle bien, mais comme elle était amoureuse, elle ne voulait pas le laisser.

C'est vers mes douze ans que tout changea. Ma mère porta plainte contre mon père pour voies de faits, et il fut nommé coupable durant le procès, il partit 10 ans en prison. Ma mère fut enfin heureuse, l'homme qui lui détruisait la vie était enfin derrière les barreaux et elle put refaire sa vie avec un nouvel homme que, sincèrement, je n'ai jamais réellement aimé. Il se nommait Charlie Di Castelli, c'était un italien de pure sang. Je vous jure, on aurait dit qu'il était carrément importé avec la boîte, le vin et les pâtes italiennes! Il avait cet accent qui tapait sur les nerfs mais que ma mère trouvait sexy, et ce style affreux que ma mère trouvait mignon. Comme on dit, les goûts sont dans la nature. Elle était ravit de me dire que c'était mon nouveau père et que celui-ci allait changer notre vie à tous les deux, mais je ne la croyais pas. Mon père avait beau lui avoir fait du mal, mais personne ne pourra le remplacer, jamais.

Quand j'étais à l'école, j'étais ce genre de garçon que tout le monde aimait bien faire chier. Les post-it dans mon dos pendant que je dormais en classe, les verres d'eau qu'on me lançait à la figure, les jambettes que l'on me faisait sans aucune raison, j'ai tout vécu et ma mère n'a jamais fait quoi que ce soit. Je n'ai pas eu une enfance facile, mon cocon familial était sans cesse bouleversé par des nouvelles de plus en plus choquantes. Ce qui détruisit le bonheur de ma mère pour toujours? La mort de Charlie et de sa mère en moins d'un seul mois. » - « Mmmm... Je vois. Et comment ceci a détruit le bonheur de ta mère? Et quelles répercutions ça a eu sur ta vie Liam? » - « Vous voulez absolument savoir? D'accord. » - Sincèrement? Je ne l'aimais pas, il me forçait à me rappeler encore une fois. À me rappeler la souffrance que j'ai vécu, et je détestais cela. Je pensais avoir terminé mon moment de souffrance durant ma thérapie mais c'est à croire que j'avais tort. Je devais cracher le morceau.

CHAPTER TWO - I THOUGHT YOU WOULD LOVE ME UNTIL I DIE, I WAS WRONG I GUESS.

Après une petite pause café, et après qu'il ait prit des notes dans son calepin, monsieur Beauregard me demanda de continuer mon récit. Il avait l'air captivé par mon histoire, je ne sais pas pourquoi et je ne veux surtout pas savoir. « Ma mère changea du tout au tout. Je ne la reconnaissait plus. Elle qui était si attentive et si aimante, est devenue une femme complètement différente. Elle s'est mise à travailler trois fois plus souvent et je ne la voyais plus du tout. Ma nounou était devenue comme ma nouvelle mère et je savais qu'à partir de ce moment, ma vie ne serait plus pareille. Pour éviter d'être chez moi, j'avais trouvé un job comme caissier dans un dépanneur du quartier. Je rencontrais plusieurs personnes qui devinrent mes amis. Je me rappelle encore de Bradley... Ah ce foutu Bradley. Il était tellement con! Il était le pire voleur, le pire menteur, et le pire délinquant que vous auriez pu rencontrer. À chaque fois qu'il voulait faire quelque chose d'illégal, il fallait qu'il prenne ses pompes pour ne pas faire une crise d'ashtme. Mais il était sympa ça, je dois l'avouer. On était toujours ensemble mais ma mère ne l'aimait pas vraiment. Il avait des yeux ténébreux, une coupe de cheveux en bataille et il était extrêmement séduisant, c'est vrai. Nous étions le duo de "beaux gosses" du quartier et nous adorions ce titre. Vers mes dix huit ans, ma mère redevint aimante et affectueuse, ce que je trouvai étrange. Elle arrêta le boulot et consacra tout son temps libre pour être avec moi. » - « Pourquoi était-ce étrange? Elle voulait peut-être retrouver son fils chéri? » - « Non, elle n'était pas affectueuse dans le genre maternelle... » - « Ah non? Et dans quel sens? » - « Dans le sens... sexuel. » - Il se mit à écrire je ne sais trop quoi dans son carnet et prit une gorgée de café puis me fit signe de continuer. « Elle arrivait tout près de moi et me frôlait mes parties génitales. Ce n'était rien de très grave, mais je trouvais ça bizarre. Je me rappelle encore qu'elle me disait de sa charmante voix : "Mon chéri, tu es devenu si beau... Tu ressembles tellement à ton père!" Puis elle recommençait à me faire des avances. Parfois, elle me faisait même du pied! Et un 4 juillet, le jour de l'Indépendance américaine, elle décida de me saouler. Bien sûr, je ne m'en suis pas plains. Jusqu'au lendemain. Je ne me rappelais de rien du tout, j'avais trop bu et j'avais perdu la tête. Je m'étais tout simplement réveillé aux côtés de ma mère, et elle était nue. J'avais vingt et un ans à ce moment, j'étais majeur et c'était légal ce que j'avais fait, mais crasse! Je n'en revenais pas. Je me suis levé rapidement et j'ai quitté sa chambre pour aller dans la mienne et tenter de comprendre ce qui s'était passé. "Désolé mon chéri! Je ne voulais pas!" Elle m'avait dit ça quand elle s'était réveillée. J'ai rit à son nez, j'ai fais mes bagages et je suis partit. » - « Tu as du être troublé lorsque cet évènement est arrivé, non? Ce n'est pas vraiment normal une relation sexuelle entre un fils et sa mère... » - « Comme si j'savais pas. Vous m'prenez pour un con monsieur? » - « Bien sûr que non Liam... Ce n'était qu'une question. » - Il se remit à écrire et je perdis les pédales, je me levai de ma chaise et me pencha sur son bureau pour me trouver nez à nez avec cet homme qui me prenait pour un véritable idiot. Madame Shefferfield se pencha vers moi et déposa un léger baiser sur ma joue en disant : « Liam... Calmes-toi, sors dehors prendre un peu d'air et reviens dans dix minutes. D'accord? » - « M'ouais... » - Je partis à l'extérieur pour prendre un peu d'air, j'en avais réellement besoin. Après quoi, il faudra que je parle de mes putains de relations amoureuses...

CHAPTER THREE - BE IN LOVE, YOU'LL BE HAPPY SHE SAID.

Après ma petite promenade à l'extérieur, j'étais prêt à parler de mon seul et unique amour. Le seul qui m'ait réellement marqué. Je repris place dans le fauteuil et Tristan me dit : « Vous avez déjà rencontré l'amour Liam... Pas vrai? » - « Oui... » - « Vous étiez jeune, non? » - « Ouais... » - « Tu veux me raconter cette histoire? Comment vous vous êtes rencontrés? » - « J'ai rencontré Emily lorsque j'eus dix sept ans. J'étais très jeune, et elle n'avait que quinze ans. Ses parents ne m'aimaient pas réellement car je me rapprochais de l'âge adulte et elle était encore qu'une enfant à leurs yeux. Je l'ai connue grâce au boulot de ma mère. La mère d'Emily devait avoir la garde unique de sa fille, et elle avait fait appel à ma mère. Lorsque les deux femmes se sont rencontrées, elles sont emmenées leur enfant, moi et Emi. Dès que nos yeux se sont croisés... J'ai eu cette étincelle que tout le monde veut ressentir à l'intérieur d'eux. Nous nous sommes tout de suite entendus et nous faisions tout pour nous revoir. » - « Le boulot de ta mère t'as donc permis de trouver l'amour? » - « Oui... » - « Comment votre relation s'est-elle officialisée? » - « Je l'avais invitée, un soir, à aller manger au restaurant puis à aller au cinéma avec moi. Elle a tout de suite acceptée et j'ai passé la plus belle soirée de toute ma vie. Nous avons fini par nous embrasser et à former officiellement un couple. Elle venait toujours chez moi, et j'allais toujours chez elle. Sa mère ne m'aimait pas, comme je l'ai dis. Mais elle a apprit à m'apprécier au fil du temps car je rendais sa fille heureuse. » - « Et comment votre histoire s'est-elle terminée? » - « À vrai dire... Notre histoire s'est jamais réellement terminée. Elle est déménagée avec sa mère du jour au lendemain et n'a pas eu le temps de m'avertir. Elle m'avait appelée alors qu'elle était en voiture vers l'aéroport pour quitter vers l'Afrique ou je ne sais trop quoi. Je ne l'ai plus revue ensuite... Elle a quittée New York il y a un an, alors que j'avais vingt trois ans et je ne l'ai toujours pas oubliée. J'espère encore la retrouver car elle est la seule et unique femme que j'ai aimé. » - « Je vois... C'est compliqué cette histoire... Avez-vous déjà eu des disputes? » - « Pendant nos cinq années de relation, nous n'avons eu aucune dispute. Nous avons toujours été heureux. » - Il se remit encore à écrire, mais que pouvait-il bien écrire de si important et de plus que madame Shefferfield? J'y ai cru à cet amour, mais la mère d'Emily la contrôlait mieux que moi. J'étais tout simplement le petit copain détesté du côté maternel de la famille. Était-ce normal? Probablement. Mais cela faisait plus d'un an que j'attends son retour, je ne savais pas où elle était partie. Je recevais quelques lettres par mois de sa part, elle était à Hershaw. La mère d'Emily travaillait pour Disney et elle devait évaluer un terrain pour un futur parc d'attractions de Disney Land. Elle me disait que le parc était bientôt terminé et qu'elle pourrait peut-être partir de là-bas pour revenir à New York... Mais connaissant sa mère, je n'y croyais pas. « Je crois que le meilleur pour vous serait de quitter la ville et de partir à la rechercher de cette Emily. Avec ce que vous avez vécu, vous méritez d'être heureux. Partez à sa recherche, vous le méritez. Si vous voulez, nous pouvons même vous payer le billet d'avion. » - Il n'eut pas besoin de se répéter, mon plan était maintenant fait dans ma tête. J'allais la retrouver.

CHAPTER FOUR - HERSHAW, AFRRICA... HERE I COME

Ça fait plus de deux ans que j'ai eu mon dernier rendez-vous avec mon psychologue, deux ans que j'ai le billet pour Hershaw mais que je n'ai pas le courage de débarquer. Je reçois toujours les lettres d'Emily, mais elles sont moins fréquentes. Peut-être qu'elle a trouvée quelqu'un d'autre? Et c'est ce qui m'a motivé. J'ai appris l'ouverture du parc à Hershaw et j'appelai pour obtenir un poste : j'allais incarner Éric dans la petite sirène. Connaissant cette histoire par coeur, ce ne serait pas difficile pour moi d'incarner ce personnage. J'avais bien hâte par contre de découvrir qui allait incarner la petite sirène, j'espère que ce ne sera pas une fille affreuse parce que sinon, je démissionne! Je pars dans moins de deux jours, et j'ai hâte de me mettre à sa recherche pour voir ce qu'elle est devenue. Mes valises sont déjà faites et j'ai déjà un boulot en arrivant là-bas, que peut-il arrivé de mauvais, hein? J'ai hâte, je ne vais pas vous le cacher.

Aurevoir New York. Hershaw, j'arrive!

Bienvenue ici
Oh, un squatteur du bar, un lien s'impose ;)

Oh un québecois !! Il nous faudra un lien pour Rp sur le décalage
Bienvenue !!!!

Bienvenue sur le forum =)
Je suis complètement fan de ton histoire et de sa présentation XD
Bon choix d'avatar <3
Au fait, tu es validé!
Tu n'a plus qu'à recenser Avatar & Métier et faire une petite description dans la partie Logement =)
Have Fun !

Skyler C. Delafontaine a écrit:

Oh un québecois !! Il nous faudra un lien pour Rp sur le décalage
Bienvenue !!!!

Oooohhh
J'adoooooooooooore le prénom
Of course, tu auras un lien! Décalage horaire poweeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer

Scarlett J. Carmicheal a écrit:

Bienvenue ici
Oh, un squatteur du bar, un lien s'impose ;)

Squatteur du bar? J'ai aussi un prénom : LIAM!
Mais tu l'auras aussi ton lien... si tu résistes à ma tentative de viol

Et merci Hanzel, c'est ce que je viens tout juste de faire